QUIÉVRAIN VILLE DU HAINAUT

Texte extrait du travail de Monsieur Théodore Bernier ecrit en 1886

La Philarmonie

La Société Philharmonique
Fondée en 1809 sur les instances de l'administration locale, à l'époque où des avis réitérés annonçaient le passage prochain de l'empereur Napoléon Ier par notre commune, la Société Philharmonique contribua à rehausser la réception faite à ce souverain le 29 avril 1810. Dès le 15 janvier 1810, l'acte officiel de constitution de la société avait été passé devant Me Patte, notaire impérial à Quiévrain.

Fondée en 1809 sur les instances de l'administration locale, à l'époque où des avis réitérés annonçaient le passage prochain de l'empereur Napoléon Ier par notre commune, la Société Philharmonique contribua à rehausser la réception faite à ce souverain le 29 avril 1810. Dès le 15 janvier 1810, l'acte officiel de constitution de la société avait été passé devant Me Patte, notaire impérial à Quiévrain.

Gran'rue - Batiment de la Philharmonie
Maison où fut fondée en 1809 la Philharmonie de Quiévrain (Le grand batiment a droite, Scène datant de 1902).
Batiment de la Philharmonie
Maison où fut fondée en 1809 la Philharmonie de Quiévrain, vu du Clocher de l'église.

Maison où fut fondée en 1809 la Philharmonie de Quiévrain (Le grand batiment a droite, Scène datant de 1902) et le même batiment vu du Clocher de l'église.

Batiment de la Philharmonie
On prétend que cette maison (Grand-Rue) a accueilli l'Empereur Napoléon lors de son passage dans la localité en 1810. Toutefois, ce qui est certain, c'est qu'elle est le berceau de la Société Philharmonique qui y fut fondée en 1809 par son premier président, le notaire BECKOZ

On prétend que cette maison (Grand-Rue) a accueilli l'Empereur Napoléon lors de son passage dans la localité en 1810. Toutefois, ce qui est certain, c'est qu'elle est le berceau de la Société Philharmonique qui y fut fondée en 1809 par son premier président, le notaire BECKOZ

Cortège de la Philharmonie
A l'issue du cortège du 11 novembre, la Philharmonie se dirige vers la place de la Gare où a lieu la dislocation du cortège. Les musiciens précédés des membres du Comité entrent dans la rue de la Gare. Chacun y reconnaîtra des musiciens qui ont marqué leur époque. Parmi les membres du Comité de gestion figure M. LEDUC, dit Jules Pierre (au centre).

A l'issue du cortège du 11 novembre, la Philharmonie se dirige vers la place de la Gare où a lieu la dislocation du cortège. Les musiciens précédés des membres du Comité entrent dans la rue de la Gare. Chacun y reconnaîtra des musiciens qui ont marqué leur époque. Parmi les membres du Comité de gestion figure M. LEDUC, dit Jules Pierre (au centre).

Tir à la perche en 1913
La Société Royale Philharmonique organisait régulièrement des cours au sein de son Ecole de Musique. Un jury composé de professeurs de conservatoire examinait les capacités des candidats dans quatre disciplines : solfège. instruments à anche, instruments à embouchure et instruments à percussion. Lors de la proclamation publique des résultats obtenus, le président (ici M. Ch. BATAILLE) organisait une fête comme ce tir à la perche en 1913.

La Société Royale Philharmonique organisait régulièrement des cours au sein de son Ecole de Musique. Un jury composé de professeurs de conservatoire examinait les capacités des candidats dans quatre disciplines : solfège. instruments à anche, instruments à embouchure et instruments à percussion. Lors de la proclamation publique des résultats obtenus, le président (ici M. Ch. BATAILLE) organisait une fête comme ce tir à la perche en 1913.